ÎLE MYTHIQUE D'AVALON

 L’Île Féerique, Mystique et Magique



Ici je dois vous l'avouer, les informations sur le Net ne manquent pas, sauf que, je ne peux passer outre cette île magique et Féerique qu'est AVALON. Dans la pratique de la Magie Féerique autant que dans plusieurs autres formes Magie, l’Île d'Avalon est présente, voir même importante. Avalon était une île de prêtresses qui était habité principalement par La Dame du Lac et 9 autres prêtresses. Ces 9 prêtresses avaient suivi des années de formations et d'initiations avant d'être, pour leur communauté des femmes très importantes. D'excellentes guérisseuses, elles vouaient leur vie au service de leur grande Prêtresse, de la Grande Déesse autant qu'à celle de leur communauté, à qui, elle venait en aide médicalement, surtout.

Ces Prêtresses jouaient un rôle médical autant que symbolique très sérieux et concret dans la communauté de leur époque. Elles n'étaient pas que des êtres passifs aux paroles bienveillantes, elles ne faisaient pas que partager leur amour et la lumière, elles personnifiaient l'importance du féminin sacrée. La Magie de la Terre et de la Déesse était exprimée par ces femmes à travers les cycles sacrés, les rites des prêtresses et leurs guérisons, autant qu'à travers leurs enseignements et leurs conseils aux gens de la lande Anglaise. Aujourd'hui encore il existe à Glastonbury un "Coven" de Prêtresse qui enseigne la Magie d'Avalon en hommage à ces femmes maitrisaient à merveille l'art de la guérison avec l'aide de leur Terre Mère, dont elles seule connaissaient tous les secrets, des plantes, de l'eau, de la terre, du vent et du feu.

Avalon était la demeure de Morgane la Fée et, selon la légende, l''île d'Avalon ou d'Avallon est, dans la littérature arthurienne, le lieu où est emmené le roi Arthur après sa dernière bataille à Camlann. C'est aussi, selon certaines sources, l'endroit où fut forgée l'épée d'Arthur, Excalibur.

Avalon, Île Légendaire

Avalon est un sanctuaire, une clairière, l'île ancienne des prêtresses celtes de la Lune... Tout n'est que songe à présent....

Avalon, cette île mystique se trouve officiellement à Glastonbury, en Angleterre. Elle serait en fait une île composée de sept autres îles, plus petites. Glastonbury, elle-même une grande île, celle des druides, contient encore quelques vestiges d'anciennes écoles, de temples, de cercles de pierres levées. Même si Avalon se trouve en Angleterre, elle peut être partout, lorsque la pluie tombe et que le ciel est orageux, les brumes se forment il faut voir en elles celles d'Avalon, savoir les écarter et pénétrer sur l'île, courir sur son herbes fraîche de la rosée vers notre destinée. Avalon peut être partout, elle est le paradis terrestre des wiccans, des païens et des druides. C'est là que l'on se réfugie dans les moments de détresse. C'est un lieu pénétrable de seuls les adeptes. C'est là où vécu la Grande Prêtresse Viviane, c'est là que grandi Morgane et devint prêtresse. Arthur y fut enterré après la dernière bataille. Avalon, c'est la frontière entre rêve et réalité, c'est le point féerique qui nous sépare de la Déesse.

Au départ, Avalon est l'île mythologique à laquelle les prêtresses de la déesse Cerridwenn ou Cerrydwenn ont élu domicile. Il y aurait eu un temps, vers la fin de la Rome impériale et au début du moyen-âge, où des moines chrétiens aurait établi un monastère et vivrait en harmonie avec les prêtresses.

Au centre de l'île se dresse une immense montagne, nommée le «Tor», surplombée d'un cercle de pierres levées. C'est le temple principal où l'on célèbre la Déesse. Il s'élève vers le ciel, disposé à acquérir les offrandes et à concentrer les incantations. Seul les personnes privilégiées y ont accès, une simple prêtresse n'y a pas droit et le temple est contrôlé par la Grande Prêtresse et quelques druides. Excalibur y fut officiellement forgée, par les druides et son fourreau, décoré par les prêtresses, lors d'une nuit d'Imbolc, fête du 2 février.

Ce serait aussi à Avalon qu'Arthur, le roi de Bretagne, aurait reçu l'épée et ne l'aurait non pas extirper d'une enclume comme l'affirme faussement la légende populaire. C'est le dernier refuge de la tradition celtique, en dehors de Borcéliande et de Glastonbury, où se trouve officiellement Avalon. Mais l'île centrale en question, la légendaire, reste introuvable : cachée derrière les brumes ou alors engloutie par les eaux.

Avalon, un chemin Spirituel

Pour les praticiennes ou prêtresse de la Terre, Avalon existe en chacun de nous, un lieu parfait où l'abondance, l'amour pur, l'harmonie, le talent et le pouvoir résident. Nous y avons tous accès, il n'en tient qu'à nous à sortir de notre zone de confort afin d'emprunter le chemin de la lumière d'AVALON.

C’est d’ailleurs ce que mentionne « The Sisterhood of Avalon,
Tradition fondée en 1995 par Jhenah Telyndru » dont voici un petit résumé de ce qu’est la Tradition Avalonienne selon, Nightwind:

Il n'y a pas de Tradition Avalonienne historique. Principalement représentée par The Sisterhood of Avalon et le Temple de la Déesse à Glastonbury, cette Tradition puise son inspiration dans la culture et les traditions de la Grande Bretagne celtique, et plus particulièrement du cycle mythologique gallois, le Mabinogion, et des légendes qui y sont associées. C'est dans ce cycle mythologique qu'apparaissent les premières références à Ynys Afallon, l'Ile d'Avalon.

La Tradition Avalonienne est une voie spirituelle qui s'inscrit dans la Tradition des Mystères occidentaux. Elle ne s'apprend pas dans les livres mais avec l'expérience, en entrant en communication avec la nature, afin de mieux comprendre l'univers et de trouver sa propre sagesse. C'est une spiritualité centrée sur la Déesse, et qui n'utilise pas de magie manipulatrice (sorts, charmes et autres talismans).

Nous suivons une voie centrée sur la Déesse et nous travaillons avec le panthéon gallois. Nous pensons que la voie féminine est différente de la voie masculine – elles sont égales, mais opposées. Bien que nous reconnaissions et honorions l'aspect mâle de la Divinité, nous travaillons uniquement avec les énergies femelles, passives, et avec l'énergie de la Déesse. Bien que nous honorions toutes les Déesses comme Une, nous ne travaillons qu'avec les déesses spécifiques à Avalon.

Nous ne prions pas la Déesse pour lui demander de changer nos vies. Nous nous efforçons d'atteindre la santé et la clarté intérieure afin de ne pas être dirigées par les motivations inconscientes de notre part de ténèbres.

Nous faisons confiance à la sagesse de l'Univers et pensons qu'il n'est pas de notre ressort de changer la voie d'autrui. Nous croyons que tout changement de conscience et toute initiation ne sont accordés que de la main de la Déesse.

Nous travaillons à comprendre et à connaître intimement les pouvoirs de la Terre, de la Mer et du Ciel, car à travers eux nous pouvons comprendre comment fonctionne l'énergie.

  • Nous suivons les cycles Lunaires et observons les Fêtes Lunaires : Calan Gaeaf (Samhain), 
  • Gwyl Mair (Imbolc), 
  • Calan Mai (Beltane) et 
  • Gwyl Awst (Lughnasadh)

Nous recherchons la sagesse personnelle. Il n'y a pas de Livre des Ombres à mémoriser, nous enseignons à nos étudiantes les moyens pour atteindre leur propre sagesse.

Extraits du site The Sisterhood of Avalon, tradition fondée en 1995 par Jhenah Telyndru
www.sisterhoodofavalon.org

La Tradition Avalonienne

Historiquement parlant, il n'y a pas de Tradition Avalonienne. C'est une tradition bardique, donc orale, née quelques siècles avant Jésus-Christ, aux époques celtiques et païennes, au temps où les Romains étaient encore au pouvoir. Aucune date précise ne peut être prononcée et les informations véridiques ne sont qu'hypothétiques, étant donné le travail acharné des anciens prêtres chrétiens pour en faire disparaître toute trace. Avalon était au départ l'île mystique que les prêtresses de la déesse celte Cerridwen avaient élu comme domicile et lieu de culte, puis, peu à peu, une religion et une philosophie propre à cette île s'est mise en marche,

Avalon commençant à avoir ses propres traditions et sa propre sagesse, qui nous rappelle celle des druides, dont leur tradition a profondément inspiré celle de l'Île Sacrée.
La Tradition Avalonienne s'inspire donc des traditions ancestrales et druidiques, mais aussi du Mabinogi ou Mabinogion, conte gallois épique composé de quatre branches principales. Chacune des cinq déesses majeures du cycle des saisons vénérées à Avalon y sont nommées. La philosophie Avalonienne est simple, mais elle apporte à l'esprit beaucoup plus que bien d'autres religions et traditions. Elle est basée sur le culte des énergies féminines, en communion avec celles des mâles. Les Prêtresses et les Druides de cette île vénéraient certes une Déesse et un Dieu, la seule et véritable religion pour eux était en fait la Nature et la Terre. Le choix de divinités n'étant que symbolique, la Grande Déesse ainsi que le Dieu Cornu ne sont qu'une représentation du Cycle des Saisons, de la Grande Roue de la Terre et de l'égalité entre les deux sexes, aucun n'étant supérieur à l'autre.

Leur tradition s'exprime et s'apprends avec l'expérience et le vécu, et non dans les livres. De nos jours comme autrefois, nous devenons Bardes, Druides ou Prêtresses en expérimentant la vie et en entrant en étroite communication avec la nature, afin de mieux comprendre l'univers et de trouver sa propre sagesse. Avalon n'est qu'une branche parmi tant d'autres de l'arbre éternel, celui de la connaissance des anciens, celles des peuples celtes et païens. Toutefois, cette tradition est simple en soi, et il ne suffit que d'écouter ses voix intérieures afin de trouver une harmonie avec le monde nous entourant et de comprendre les énergies à l'œuvre dans la nature

Avalon, cette île légendaire où Viviane ou Dame du Lac, reçu son enseignement de prêtresse, où Morgane dite la fée, fut initiée aux Mystères Avaloniens avant de devenir Morgane d'Avalon, la Grande Prêtresse, tel sa mère, Ygerne, et sa tante, Viviane. Sans Avalon, Arthur ne serait probablement jamais devenu roi, étant donné que son épée de puissance, Excalibur, provenait de ce lieu sacré. Il y a tant de choses à dire sur cette belle religion celtique, mais si peu d'informations s'offrent à nous. Tant de choses à dire sur cette tradition qui aidé à la formation de la Wicca...

Nous ne pouvons-nous fier que sur la véridicité les textes anciens écrits par les romains, relatant de cette île magique, où se rassemblaient druides et prêtresses, sur d'anciens poèmes et chants celtes, relatant d'Avalon et de la Déesse Mère, du culte druidique et des divinités celtiques, ainsi que sur de peu nombreux textes médiévaux. Aujourd'hui, cette religion a pour ainsi dire disparu et ne vit que grâce aux contes arthuriens. Les archéologues ont pu retrouver sur les sites de Glastonbury quelques traces de cette tradition et quelques objets de culte, mais sans plus. Encore de nos jours, des rituels Avaloniens et druidiques sont exécutés sur ces lieux bénis des dieux et de la Déesse, remémorant les anciens rites et faisant renaître l'Ancienne Religion.

Druides et prêtresse cohabitent sur cette île, et, peu à peu, on vénère celle que l'on nomme la Déesse et celui qui est appelé le Dieu Cornu. Ces deux entités sont la représentation de l'égalité entre l'homme et la femme, qu'aucun des deux sexes n'est inférieur à l'autre. Ils sont aussi des personnifications de la nature, de la lune, du soleil, de l'univers, ses astres, de la Terre et des saisons. Ils sont partout dans la nature, s'exprimant à travers arbres et rivières, et non dans un ciel lointain, au milieu des nuages. Cette tradition est aussi l'histoire d'une longue guerre entre les païens et les chrétiens, que je tenterai d'expliquer au mieux dans ce livre. Et maintenant, que les brumes pour vous se lèvent et que se dresse sous vos yeux les sentiers mystérieux et inexplorés d'Avalon...

Tiré de «Priestess», Glastonbury Unique Publications, 1987
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